Ma petite secrétaire salope. Jusqu’o&

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Ma petite secrétaire salope. Jusqu’o&Salut.J’aime bien ce site que je consulte régulièrement aux heures tardives de bureau et il me prend l’envie d’écrire (et de partager ? on verra bien).Effectivement, ma vie sexuelle a pris un nouveau départ il y a seulement quelques jours. Par ailleurs, en ce moment même, j’observe quelques maculations au sol sur la moquette qui me rappellent tout ce qui s’est passé jeudi dernier. Il est minuit passé et les premières heures dominicales s’avancent. Je suis malheureusement seul et je me sens déjà en manque de ma belle…Alors, pourquoi ne pas écrire et me faire réfléchir ? Voire partager les derniers événements qui me bouleversent tant. Commençons brièvement par le début : Je m’appelle Jean-Marc. Je suis marié et j’ai deux filles. Ma vie sexuelle avec mon épouse est devenue inexistante avec les années ; j’avoue partager les fautes de cet état des lieus : d’abord, j’ai trop passé de temps au travail, ce qui a poussé ma femme à avoir des aventures extraconjugales (encore aujourd’hui). Du reste, par vengeance, j’en ai fait de même mais sans pour autant tirer le même plaisir qu’elle je pense. Et puis, je suis devenu davantage carriériste.Je suis devenu l’exemple de celui qui a gravé beaucoup d’échelons sociaux. Je ne cache pas ma fierté d’être cadre supérieur dans une grande société d’assurances (peut-être la vôtre ?). Je gère 4 agences que je sais rentabiliser avec d’excellents benchmarks, parmi les meilleures au niveau national. De facto, mes journées de travail sont bien remplies.Pour m’aider, j’ai besoin d’un secrétariat privé mais surtout d’une assistante proche, compétente et disponible. Vus mes horaires et mon rythme de travail, et vu le salaire de misère (une erreur éhontée) que la maison mère alloue à ces postes dont celui de celle qui me seconde, j’en ai vu défilées des collaboratrices : elles ne restent qu’une année ou deux, et je les comprends.Au premier trimestre de cette année, voici que s’est présentée ma nouvelle assistante. Au début, je n’ai pas été enclin à mon meilleur accueil : encore une personne à former et qui va partir dans les 10 mois, me suis-je dit. Bref, je n’ai pas été très motivé, je l’avoue aujourd’hui.La petite nouvelle est arrivée à 9h pile pour sa première embauche. Elle était toute souriante (c’est son caractère). Ce n’était pas mon cas… « Zut ! C’est une gamine », et je pensais qu’il me fallait encore une perte de temps tout lui apprendre à la base. Malgré tout, sa beauté et sa douceur me confortaient, bien que je n’eusse absolument aucune idée lubrique en tête.Laurie est une petite jeune femme de 19 ans. Sa silhouette est fine voire maigre. Sa peau est d’un blanchâtre de rouquine sans les petites tâches qui les trahissent. Elle est brune, le visage fin et long, les cheveux noirs bouclés. Ses yeux sont de couleur verte et ses lèvres peu épaisses. Son nez est long et ses dents sont d’un blanc sein qui éblouie son sourire. Sa poitrine est semblable : à peine un bonnet B. Le bas de son corps a plus de forme : si ses fesses sont menues, ses hanches dessinent des courbures féminines plus prononcées mais non excessives, qui élancent une paire de jambe mi-longues qui restent fines. C’est une donc belle nana qui, comme elle peut se le permettre sans limite, s’habille toujours habillée très cintrée.Si nous nous connaissions, vous me diriez qu’elle est à l’antipode de mon épouse et c’est vrai : femme grande, massique, fesses rondes et surtout très grosse poitrine (un bonnet EE/F). Bien que la personnalité et l’apparat de Laurie dégagent incontestablement une aura érotique, elle ne m’intéressait pourtant pas (c’est ce que je pensais). D’abord, je la voyais comme une gamine ; par ailleurs, sa date d’anniversaire, à une année d’écart, est la même que celle de ma propre fille aînée ! Et puis, j’étais dans le contexte du travail et donc loin de m’imaginer ce qui allait se passer. Avançons dans mon histoire. Disons d’abord que Laurie n’est seulement jolie, mais elle est aussi intelligente (elle comprend tout très vite) et elle est travailleuse. Sincèrement, c’est la plus jeune et la plus compétente des collaboratrices que j’ai eues. Et puis, elle est jolie et elle le sait. J’avais des doutes mais c’était clair que dès le début, elle cherchait à m’allumer. Ses poses séductrices, son parfum, ses vêtements courts (même quand elle portait un rare pantalon, c’était une taille suffisamment basse pour que je découvrisse un grand papillon tatoué sur le bas de ses reins).Le jour où notre relation a changée, c’était au mois de juin. Prompte à m’aider sans compter ses heures, il était déjà tard et nous étions les derniers dans l’agence. Je lui demandais alors de rentrer chez elle et elle a refusé. Nous cherchions un vieux contrat et j’étais excité. D’habitude seul à ses heures-ci, je mâte une vidéo porno sur ce site et je me soulage avant de reprendre mon travail. Là, ce n’était pas possible et j’avais l’esprit trop encombré d’envie lubrique qu’au travail. Quand Laurie était montée sur l’escabeau, je mâtais ses petites fesses ultra-moulées dans sa blanche et courte robe-tunique. Pas très grande, ma jolie secrétaire se tortillait dans une position désagréable pour elle afin de dégager un carton stocké sur le haut d’une armoire. Je continuais à mâter ses fesses, sans l’aider, et à profiter du spectacle titillant de ses fines cuisses qui se découvraient à mesure que sa minirobe remontait en raison de ses acrobaties dévouées. Par pulsion, je n’ai pas pu m’empêcher de me caresser la verge raidie à travers mon pantalon, les yeux rivés sur son cul. Involontairement, Laurie fait tomber des feuilles mal rangées ; en tournant la tête, elle a grillée mon voyeurisme et mes gestes obscènes. Comme un enfant pris la main dans le porte-monnaie de sa mère, je sursautais et interrompais mes gestes mais c’était évidemment trop tard. Laurie a eu pour seule réaction de pousser un petit rire et de me lancer « C’est pas grave ».J’ai présenté à Laurie des excuses honteuses. Celle-ci n’en avait cure et me prenais la main :-« Tu sais, y’a pas d’mal ! »-« Je suis vraiment désolé. illegal bahis Je ne sais pas ce qui m’a pris »-« T’inquiète, j’ai vu pire que ça », me répondait-elle en riant.Elle enchainait en me caressant la main :-« Tu sais, t’es un bel homme. Et tu me plais aussi. Je vais te faire un aveu : je me pense à toi quand je me fais prendre par d’autre mecs »-« Waouh ! C’est sûr, ça ne va pas me calmer… Tu es magnifique, mais je ne sais pas… »Laurie me coupait la parole :-« Je veux bien être ta p’tite secrétaire très privée. Demande-moi simplement »La belle ne souriait plus et me regardait avec des yeux qui m’arrachaient ma chemine. Sa main quittait la mienne pour glisser contre la grosse bosse qui déformait mon pantalon. Sans me lâcher du regard, elle poursuivait :-« Il faut juste que tu me demandes. Demande et je ferai. Tu verras, tu ne serras pas déçu avec moi »Elle n’avait pas besoin de me convaincre de ma satisfaction… Après un court et trouble instant, je cédais à ma faiblesse et ne su pas être prolixe mais direct :-« Suce-moi… »Laurie s’accroupissait tandis qu’elle ouvrait ma boucle de ceinture, me déboutonnait le pantalon afin de le glisser sous mes genoux. Je bandais fort et j’ai la chance d’avoir un gros sexe. Un peu macho, je poussais davantage mon bassin vers l’avant pour bien me mettre en valeur derrière mon boxer. Je sais que la sexualité « n’est pas une question de taille », néanmoins j’aime montrer que je suis gâté par la nature. Du reste, je reconnais que mon pénis a plutôt une longueur normale, moyenne dirais-je, mais il est très large et épais : ma propre poigne n’en fait pas le tour. Pour finir sur la confidence, je pense que si je jouis de cette virilité mal placée, c’est parce que, adolescent, j’ai souffert des moqueries de mes camarades dans les vestiaires qui m’appelaient « couilles d’ours » (parce que déjà poilu aussi). De ce côté-là aussi, je ne suis plus complexé, au contraire : j’ai des grosses boules qui produisent en quantité et tout cela a fini par me donner de l’assurance dans ma vie d’homme.Bref, je prenais une position affirmée, un peu pour essayer de reprendre les événements en main et montrer à ma belle qu’avec moi aussi, elle ne serait pas déçue.Laurie me prenait le sexe dans ses deux mains et me débarrassait enfin de mon boxer. Tout en soulevant mes testicules, elle passait son autre main autour de ma verge et s’esclaffait :-« Ouh ! Je me doutais que tu cachais une belle artillerie, mais là… Je vais te sucer comme une bonne secrétaire. Demande-moi ce que tu veux, je t’obéirai »Ma tête tournait et je voyais des étoiles. Laurie commençait par me masturber sans quitter ma verge des yeux. Ce n’était pas long, mais je commençais à trépigner d’impatience et d’envie de soulagement. J’allais déposer de ma salive sur mon gland pensant que ma petite secrétaire trop peu expérimentée, ne se doutait pas qu’il en avait besoin et qu’il me piquait un peu. Quand j’allais me décider, elle se redressait sur ses genoux, creusait ses joues et plombait un large filet lubrificateur sur le bout de mon pénis dont elle tirait la peau vers le haut. Le bout de ma verge ressemblait à un petit volcan noyé dessous une nappe blanchâtre. Laurie faisait ensuite tomber les remparts de salive en reprenant ma masturbation. Maintenant, sa langue titillait les côtés de mon sexe et parfais elle me mangeait et m’aspirait sur les côtés, comme si elle croquait un épi de maïs. La petite m’excitait, m’excitait… Elle ne devait pas avoir que j’étais dans cet état là depuis des heures et je n’en pouvais plus. J’avais envie qu’elle me prenne en bouche ou que je la prenne… J’hésitais sur mon attitude et je finissais par ordonner un bref et (faussement) sûr :-« Mets-la dans ta bouche ! »Laurie avait ses 2 mains placées autour de mon sexe qui me masturbaient de concert. A mes paroles, elle me souriait et mordillait de ses belles dents blanches sa lèvre inférieure, simulant une fausse timidité trahie par un regard de salope :-« Oui chef ! N’hésite pas, je te l’ai dit : demande-moi. Maintenant, je suis ta salope »Enfin, je voyais Laurie tenter de me soulager. J’utilise le verbe « tenter », car, et ce fut le seul manque d’expérience que je lui connaisse et finalement sa seule fellation la plus maladroite : elle avait du mal à me prendre en bouche. En fait, Martine (ma femme) arrive avec habilité à ouvrir sa bouche en grand, élargir ses lèvres puis refermer le tout en les appuyant contre ma verge, m’avalant parfois jusqu’au ventre tout en salivant et en me rasant de sa langue dans sa cavité buccale. Je me rendais compte que Laurie avait une bouche plutôt petite, peu large et, déjà, elle avait déjà du mal à y englober mon gland. Je découvrais pour la première fois les dessins de traits bruts sur son visage, les yeux fermement plissés, les joues tendues et creusées, telle l’expression d’une lionne offensive. La féline ne s’économisait pas d’effort : elle tirait fortement avec ses deux mains sur l’arrière la peau de mon sexe (à m’en faire parfois un peu mal), empalait sa gueule, faisait des remous avec sa langue afin de pousser ses lèvres sur l’avant et gagner quelques centimètres, tout en humidifiant leur parcours. Les mouvements d’allée et venue de sa tête étaient court mais brutaux : je voyais ses cheveux mi-longs se balancer sèchement dans le sens opposé et une marque de salive blanche montrant qu’elle m’avait malgré tout englouti au moins au 3/4. C’était plaisant d’être le figurant d’un tel engagement, mais j’étais tellement à bout, que j’ai pris des 2 mains sa tête afin de m’enfoncer vers sa gorge. J’ai été un amant impatient et maladroit : Laurie se dégageait d’un cou, toussait plusieurs fois et laissait de longs filets de bave sur la moquette. Dans ma tête, je vivais à nouveau un moment d’incertitude mais surtout de honte, me disant que j’étais allé trop loin et que j’avais largement manqué de tact. Sincèrement, j’avais envie de tout arrêter, lui venir en aide et présenter mes excuses pour ce manque de tact manifeste : J’étais perdu devant ma belle qui était recroquevillée, la tête en bas en train de illegal bahis siteleri tousser. Comment présenter des excuses dans un moment pareil ? Je décidais de ne rien montrer de mon état ; au contraire, je me masturbais au dessus d’elle, comme si tout était normal et que c’était la continuité d’une pratique classique dont j’avais l’habitude. Pour me rassurer et connaître son état sa réaction, je lui assénais sur un ton autoritaire :-« Alors ? T’en veux toujours ou pas ? »Laurie redressait sa tête, le visage fatigué mais toujours avec ses petits yeux fixes vicieux. Elle me répondait d’une réconfortante provocation :-« Oui, donne-moi ton sperme. Jouis sur moi ! »Je ne suis pas un hardeur professionnel : je ne pouvais pas tenir davantage. Je dégageais les cheveux bouclés de Laurie qui lui tombaient sur le visage : je les tenais fermement mais ne tirais pas dessus. Evidemment, de l’autre main, je me masturbais énergiquement. Laurie se cambrait, inclinait sa tête et tirait la langue en signe d’approbation. Comme je ne m’étais pas soulagé depuis plusieurs jours (et que mes relations sexuelles avec mon épouse sont devenues quasi-inexistantes), j’expulsais plusieurs saccades longues et généreuses. Le premier jet libératoire est passé au dessus de la tête de ma belle pour frapper les vantaux d’une armoire des déclarations des sinistres (Quelle ironie !) ; quand aux autres jets, je m’étais appliqué à les diriger sur son visage : ils se sont tour à tour éclaboussés contre sa bouche, son front, ses cheveux, et le haut e sa poitrine… et sur la moquette refaite à neuf en hiver dernier.Ma belle secrétaire était méconnaissable. Tout sur elle était trempé : de sperme, de salive et peut-être de sueur. Toujours était-il que, une fois que j’eusse relâché mon sexe, Laurie est venue coucher sa tête doucement en son dessous, passait sa langue comme sur sa longueur pour en moissonner un peu de souillure, et déglutissait ostensiblement sa récolte.Durant cette fin de soirée, Laurie et moi avons beaucoup discuté pendant que l’on nettoyait le bureau. Sans tabous, nous avions échangé à propos de nos désirs et fantasmes sexuels.Cette inoubliable première fois, bien que pas parfaite, a été LE tournant d’une sexualité nouvelle et épanouissante pour nous.* * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * Des mois sont passés et j’ai pris plaisir à me relire. Ce fût un plaisir égoïste puisque je ne mettais finalement pas décidé à me publier. Ce soir, j’ai envie de poursuivre ma littérature privée : Ceci pourra permettre de conclure le récit (ou plutôt de faire un épilogue), façon saga :).Plus sérieusement, je me suis rendu compte que ce premier contact sexuel avec ma chérie aurait pu être un fiasco. Surprise, mauvaise préparation, manque d’expérience, précipitation… Je comprends pourquoi j’ai voulu poser tout ça par écrit à l’époque ; du reste, j’assume tout et je n’en efface pas la moindre virgule, mais j’ai découvert et pratiqué tant d’autres choses avec Laurie, que cet épisode me parait plutôt en deçà du reste.Nous nous sommes révélés et découverts avec Laurie. Nous l’avons fait sans tabous et avec sincérité et nous en avons beaucoup parlé. C’est pour cela que cela marche bien entre nous. Laurie aime le sexe et phantasme d’être prise dans des rapports de domination psychologique (sans pour autant dé****r vers les extrêmes du SM). Elle souhaite continuer sa vie intime avec ses amis d’aventure sans s’engager dans notre relation et cela me convient très bien.J’ai un peu du mal à me lancer car je ne sais pas par quoi commencer…Déjà, nous sommes le 21 décembre 2013. Laurie et moi sommes toujours amants. Notre liaison a donc déjà 6 mois passés ! Entre nous, pas d’histoire compliquée mais des codes simples : nos relations se passent au travail uniquement et ne franchissent pas ce cadre (malgré quelques erreurs bénignes, SMS …). Dans ce contexte, le premier objectif est la vie des agences : le suivi professionnel des dossiers, le dynamisme commercial, les chiffres clés… Bref : le job ! Pour passer la frontière travail / plaisir, nous révélons la forme de notre relation : le jeu de rôle. Si je suis le déclencheur, je joue le patron dominateur qui abuse de son pouvoir social ; si c’est Laurie qui est la déclencheuse, elle joue le secrétaire ingénue ou la vraie petite salope. Dans tous les cas, soit on rentre dans le jeu, soit on prononce la phrase « Tu oublies Lartigue » (nota : je change le nom au cas où je publie le texte, Lartigue étant le substitut du nom du grand chef chez nous, et donc un appel à la reprise au « vrai » travail). Cela peut faire sourire, mais c’est très efficace.Je confie que mes relations avec Laurie ont eues presque que des hauts mais également des bas. Le premier générateur de conflit, le plus grave et qui aurait pu être la fin de notre histoire, a été l’argent. Bien que je ne sois pas le décideur des augmentations individuelles (je ne suis qu’un avocat de la cause dans les collèges promotionnels), je dispose malgré tout d’une enveloppe de primes tous les trimestres. Evidemment, j’en ai fait profiter largement Laurie par 2 méritantes reprises. J’ajoute et précise que j’emploie le mot « évidemment », car Laurie est la meilleure secrétaire que j’ai eue, en excluant toute relation intime (d’ailleurs, la première prime je la lui ai allouée alors que nous n’étions pas amants). Effectivement, ce sont l’intelligence et la qualité de son travail qui ont justifiées pleinement ces récompenses. Légitime, Laurie n’a pas pue et ne peut être l’unique et continuelle légataire de ces distinctions financières sous prétexte qu’elle est mon amante. Ainsi, je refuse d’induire quelque fiducie dans notre relation sexuelle, car, d’abord, cela s’apparenterait à de l’amour tarifé, et, d’autre part, cela ferait qu’injustement dévaluer la fierté de ses compétences et de son engagement professionnel dont elle peut se targuer. Laurie a eue un peu de mal à comprendre tout ça, mais c’est heureusement du passé et tout est redevenu sein sur le sujet.Dans ce cadre, aucuns de mes collaborateurs ou collaboratrices canlı bahis siteleri ne se doutent de notre relation (et nous faisons tout pour arriver à ce résultat). Toutefois, il est palpable quelques jalousies d’autant que je ne cache pas ma satisfaction du travail de Laurie. Ainsi, des attitudes plus que des mots me font penser que ça jase autour de nous ; pour autant, cela ne reste heureusement que des suspicions fantasmagoriques pour ces profanes en manque de piquant dans leur propre vie. Nous restons donc toujours sur nos gardes. Quand à ma femme, je crois qu’elle se doute quand même de quelque chose mais elle ne m’en fait aucune allusion. Il faut dire que, de son côté, elle multiplie les amants et qu’elle sait que je le sais. Du reste, je ne lui en ai jamais fait cure : c’est une dérive sur plusieurs années qui a installée entre nous une entente implicite et consentie.Je ne sais toujours pas par quoi commencer… Pourquoi pas par ce que je préfère ? J’aime dominer ma secrétaire à ces heures tardives où, évidemment, nous sommes seuls. Par exemple, lorsque je sens que je suis excité et que ma concentration professionnelle est mise à mal, je reste assis derrière mon bureau et ses dossiers, et interpelle ma belle pour lui exiger, sans aucun préliminaire physique ou verbal, de me sucer. Je recule mon fauteuil, sort mon sexe et attend qu’elle s’agenouille et m’empale de sa jolie petite tête. J’aime cette soumission et c’est un plaisir partagé (combien de fois m’a-t-elle invité à la traiter de la sorte ?). Bref, nous aimons cette ambiance. Ah ! Voir sa petite tête brune monter et descendre entre mes cuisses… Je dois ajouter que ma bienfaitrice sait dorénavant dompter la chose : la taille de mon pénis est devenue pour elle d’un défit à une formalité, au point qu’elle me suce bien mieux que mon épouse n’a jamais pue le faire. Dans ce rapport de domination psychologique, j’adore finir la séance en me relevant afin de ma placer au dessus d’elle, me masturber tandis qu’elle m’aspire les boules ou me grignote la base du sexe. Quand je sens monter mon plaisir, je lui prends ses mèches de cheveux du devant, afin de lui découvrir son visage. Laurie connait ce bon plaisir : quand elle se rend compte de l’approche de mon état final, elle m’ouvre en grand sa bouche et tire sa langue percée d’une tête d’épingle nacrée, comme un oisillon attendant sa pitance. Elle aime recevoir mon sperme et c’est tant mieux car j’en produis en abondance. Après ce genre de séance, je me remets au travail comme un goujat et lui demande d’en faire de même, en l’obligeant d’exposer mon œuvre. Ainsi, bien que je me replonge réellement dans mon travail, je fais mime de ne point me plaire à la regarder. Et pourtant… Voir ma belle s’affairer derrière des piles de dossiers avec les cheveux maculés de ma crème blanche, voir son visage briller de coulures transparentes de mon liquide séminal, voir sa petite robe assombrie de taches comme si elle se serai renverser un verre d’eau… Ce spectacle me revigore et m’aide à reprendre, petit à petit, une érection qui, en outre, me permet une bénéfique performance de retenue éjaculatoire. Dans ce rituel, j’attends malgré tout de finir mon job et les affaires courantes. Quand ils sont terminés, je demande à Laurie de ranger les dossiers. Elle s’exécute sagement, sachant très bien comment cela va se terminer. Le plus souvent, je l’accompagne dans le local des archives. Dans son dos, je m’approche d’elle et remonte sa petite robe, me déboutonne, sors mon sexe, dégage son string, l’enduit un peu de gel et la pénètre debout. Le vagin de Laurie est étroit et sa mouille n’est pas abondante (surtout comparé à ma femme qui est une vraie femme fontaine capable de jets de cyprine). Laurie aime se donner ; elle ne dit mot et prend appui contre les montants des étalonnages, me cambre son petit derrière, se doigte parfois l’anus, ferme les yeux et poussent de petits cris. Encore une fois, elle diffère de mon épouse qui est exubérante et pousse des hurlements à réveiller tout le voisinage… Je viens de confier que Laurie se doigte souvent l’anus pendant que nous faisons l’amour car elle en prend du plaisir et aime bien la sodomie. Nous la pratiquons mais, je l’avoue, moins que nous en avons envie. En effet, cela nous demande de délicates préparations et, encore un aveu, j’ai le défaut d’être impatient même en amour. C’est pourquoi il m’arrive, après avoir subit une bonne fellation de ma chère secrétaire, de lui commander de se masturber devant moi alors que j’essaie de m’affairer à rependre le cours de mon travail. C’est le scénario préféré de Laurie mais aussi le plus difficile à temporiser pour moi. Aussi, j’essaie de rester concentré (ou plutôt, de simuler une concentration) sur mes dossiers et parafeurs, tout en profitant, du coin de l’œil, du spectacle érotique. Le plus dur, c’est lorsque je l’entends couiner de plaisir, mêlé parfois à un son liquide de ses doigts qui s’enfoncent dans son vagin humide avec frénésie. Je prends beaucoup sur moi pour ne pas lui sauter dessus direct, mais je sais qu’elle aime ce jeu, alors j’attends (toujours avec impatience) qu’elle se fige en crispant ses cuisses, signe de sa satisfaction d’orgasmes bien mérités Selon les situations, Laurie peut se toucher assise au pied de mon bureau (sur la moquette), ou assise sur une chaise ou même allongée sur un bureau. Ces scenarii ont l’avantage de préparer les événements à venir : Mon sexe retrouve une bonne érection malgré sa récente pipe avec finition (et il ne faut malgré tout pas que je ne sois pas en trop forte érection) et les portes du plaisir de Laurie sont entrouvertes. Toujours aidés du précieux gel, il est ensuite nécessaire de bien en enduire nos doigts et attributs, afin de davantage dilater progressivement ses chairs. Ce sont des préparatifs compliqué, mais une fois introduit dans son petit cul, c’est l’extase. Encore quelque effort, je dois calmer mes ardeurs et j’évite de me comporter comme un rustre au risque de transformer son plaisir légèrement douloureux en calvaire (ce qui n’est pas facile tellement je me sens bien en elle… et tellement le spectacle est propice à un comportement plus a****l). Plusieurs fois j’ai joui dans son cul, et c’est une intense émotion que je ne sais pas décrire.Vraiment, je ne sais pas jusqu’où elle va m’emmener…

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